Coordination: Prof. Dr. Diogo Henrique Helal (FUNDAJ); Profa. Dra. Jesuína Maria Pereira Ferreira (UNIFBV)
Programme: L’inégalité sociale brésilienne se maintient parmi les générations à partir d’un processus pernicieux, c’est-à-dire, l’entrée précoce des jeunes au marché du travail. C’est à partir de ce fait social – qui devient un système vicieux – que se font de plus en plus restreintes les chances d’un accès digne aux emplois. Ceci dit, l’investissement en éducation doit être considéré ayant une valeur en soi-même, bien entendu: l’apprentissage des jeunes. En plus, il faut y reconnaître que les niveaux d’éducation populaire sont déterminants, pas seulement pour le développement économique qu’elle engendre, mais aussi pour la qualité de vie en soi-même. Dans ce sens, pour la littérature académique et pour les gens de la gestion publique, les années de scolarisation en dépit de leur qualité sont vues tout simplement comme une raison pour l’accès au marché. Le groupe de travail auquel nous nous engageons se dédie justement à l’étude du passage école/boulot, quel que soit l’âge d’entrée à l’emploi et le niveau de scolarisation considéré.